Lever cool, 8 heures pour la plupart, avant pour ceux qui ont oublié de fermer les volets (ou pour ceux qui n’ont pas remarqué qu’il y en avait, n’est-ce pas Pauline ?)
Toute la matinée, à tour de rôle, on s’équipe, au sous-sol de la maison. Jérôme, accompagnateur de montagne, jongle avec les pointures, les polaires, les lunettes de soleil, les casquettes. A 13 heures, tout le monde est sur la terrasse, prêt pour la première « ascension », une balade le long de l’Arve (l’Arve, c’est la rivière qui passe à Chamonix). Bon, d’accord, ça ne monte pas encore beaucoup, mais il fait chaud, et comme l’a dit Christine hier, pour monter haut et loin, il faut commencer doucement, se mettre dans le rythme, habituer le corps. Et être « MO-TI-VE ». Tout le monde avance le long de la rivière avant une petite halte au coin dit « Paradis », une sorte de « piscine » naturelle. Certains audacieux veulent tremper les pieds dans l’eau, mais les retirent vite … Concours de ricochets. Alexis et Lukas très motivés ! Motivée aussi, une partie du groupe qui prolonge un peu jusqu’à la base des hélicoptères de secours de la Protection Civile et de la Gendarmerie. Là, coup de chance, un mécanicien nous laisse rentrer dans l’hélico. Maxime, Thibault, Ambre, Pauline, Damien, Erwan s’assoient aux commandes. Corentin, qui marche comme un champion aujourd’hui, regarde, avec de grands yeux. Bon, d’accord, on ne démarrera pas l’hélico, on se contentera de regarder le tableau de bord. Ce serait trop facile de monter à l’Everest comme ça…